3 thèmes forts :

Image par Pezibear
1) La santé mentale et émotionnelle des femmes :
En mettant en parallèle la reconstruction matérielle d’un bijou et la reconstruction émotionnelle des femmes, j’espère de toute mon âme leur faire prendre conscience qu’elles peuvent, elles aussi, renaître d’une très belle façon et avec force. Et ce, même après avoir expérimenté des sentiments ou croyances négatives sur elles-mêmes, qu’elles ont pu se construire seules ou à cause de relations toxiques, personnelles ou professionnelles, ou de maladie, de burn-out…
Il est également fondamental pour moi que tous mes bijoux soient nettoyés physiquement bien sûr mais aussi énergétiquement. Je réalise ce travail grâce à plusieurs procédés appris au long de mes 15 années d’expériences et formations en développement personnel et énergétique. Cela assure à chaque cliente qu’aucune mauvaise énergie ne soient restée collée aux perles d’origine. En effet, cela pourrait provoquer aux plus sensibles des sensations très désagréables lorsque qu’elles porteront leurs bijoux…
Au contraire, travailler « en conscience » en me mettant toujours en conditions positives est plus qu’essentiel à mes yeux !
2) La protection de l’environnement :
Deux questions étaient essentielles pour moi :
– pourquoi encore créer du neuf quand il y en a tant de bijoux chez nous de récupérables ?
– pourquoi leur faire franchir tant de kilomètres, tant de continents ou d’océans ?
Le bilan carbone serait-il donc si peu important à mes yeux ???
Le choix d’acheter essentiellement des matières premières recyclées (pas tout bien sûr pour respecter les normes d’hygiène obligatoires), est donc tout sauf anodin ! Je ne gagne ni temps, ni argent, contrairement à ce que l’on pourrait penser… D’abord, je ne peux pas les acheter sur internet. Ceci dit, c’est aussi ce qui leur procure leur originalité. Ensuite, je les nettoie tous physiquement avec des produits écologiques et des bassines pour éviter le gâchis qu’engendrerait l’eau courante du robinet. Enfin, ils sont aussi nettoyés énergétiquement par différents procédés.
Les colliers dits « neufs », fabriqués en usines par des personnes travaillant dans des conditions parfois très pénibles et engendrant toujours plus de pollution peuvent-ils en dire autant ?
3) La solidarité :
- D’abord avec vous, mesdames, qui, comme moi, connaissez ou avez connu des moments sombres et douloureux, de ces moments qui nous font douter de tout et surtout de nous…
- Ensuite avec tous, par le fait d’acheter ma matière première de base essentiellement dans des structures de solidarité travaillant avec des personnes en réinsertion professionnelle.
- Enfin car je donne chaque mois, en moyenne, 2 colliers de ma création à l’association « La cravate Solidaire de Bordeaux » qui offre conseils et tenue vestimentaire adaptée à des personnes en recherche d’emploi.
D’ailleurs, en achetant l’une de mes créations, vous contribuez également à ces dons ! En effet, par votre participation financière, vous me permettez de donner de mon temps et de mes matières premières.
Ainsi, comme la cerise sur le gâteau, des femmes peuvent repartir avec une tenue complète et en adéquation avec l’emploi visé, en portant fièrement, comme leur propre symbole de renaissance un joli collier qui, sait-on jamais, leur portera peut-être bonheur, ou en tout cas augmentera cette sensation d’être belle et donc forte !